J’ai trouvé dans cette accumulation de sensations fortes dues aux décors, aux lumières, à la musique jouée par l’Orchestre National de l’Opéra de Paris, et encore plus aux
costumes des soirées de ballets dont les paillettes nous éblouissaient, une réserve inépuisable pour les différentes formes d’expressions plastiques que j’ai déjà abordées.
Cette richesse se structurera très vite pour aboutir à une première exposition de masques à Tours, deux ans après ma sortie de l’Ecole